Absence de surveillance systématique de la nappe phréatique

Une surveillance systématique de la très problématique pollution à la benzidine de la nappe phréatique en aval de la décharge de Gamsenried de la Lonza près de Brigue (VS) n’a pas lieu jusqu’à aujourd’hui. Cela doit changer sur-le-champ, voilà ce qu’exigent les MfE, l’OGUV, Pro Natura Haut-Valais et le WWF Haut-Valais après une évaluation des résultats d’analyse de la benzidine par leurs experts et expertes. De plus, la pollution massive de la nappe phréatique montre: il est urgent d’assainir la décharge de Gamsenried en une seule fois, définitivement et en toute sécurité.

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La Lonza sous-estime bien le poison présent dans sa décharge

La probabilité que le groupe pharmaceutique Lonza AG sous-estime les potentiels toxiques dans sa décharge chimique perméable de Gamsenried est grande. La quantité de la dangereuse benzidine notamment pourrait, de loin, être plus importante. C’est ce que montre une expertise sur une évaluation des risques de la Lonza que les MfE, l’OGUV, Pro Natura Haut-Valais et le WWF Haut-Valais ont publiée aujourd’hui. Les associations environnementales exigent un assainissement sûr, définitif de la décharge dans 15 ans au plus tard.

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Ensemble, restaurons-la!

De la benzidine à Gamsenried : Hyper toxique et pourtant longtemps dissimulée
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La benzidine, une substance induisant le cancer de la vessie: une fois cherchée – vite trouvée

Pour la première fois, les autorités du canton de Bâle-Ville ont recherché, à Klybeck, de la benzidine, une substance dangereuse, induisant fortement le cancer de la vessie – et l’ont trouvée immédiatement.
La récente analyse de l’office de l’environnement et de l’énergie de Bâle-Ville (AUE) n’a pas grand-chose à voir avec une démarche systématique. Les sites de prélèvement analysés ne sont, en partie, pas au bon endroit, comme p.ex. pour l’aire de jeu Ackermätteli: ces sites ne peuvent même pas détecter la pollution due à la décharge chimique Altrheinweg de la société précédant BASF et Novartis. De plus, l’AUE n’a recherché que cinq substances et donc, en a ignoré près de 1995. Car, à Klybeck, près de 2000 substances chimiques peuvent contaminer le sol et la nappe phréatique, comme l’a montré une expertise des Médecins en faveur de l’Environnement (MfE).
Les MfE exigent des études systématiques au lieu d’actions spontanées.

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